by jpulcini, 20 novembre 2015

Articles de presse

.. une mère ancienne élève des Beaux-Arts, au chevalet, comme d’autres sont aux fourneaux, un père romain qui chantait Bambino en s’accompagnant à  la guitare ; voilà  l’enfance de J.Pulcini qui se souvient : « c’était bien, c’était la vie ». […] La fillette révèle un talent très précoce, si bien qu’à  sept ans sa mère fait exposer un de ses tableaux à côté des siens, alliance qu’elle n’oubliera jamais. […] En 1963, elle entre à  l’Atelier Penninghen à Paris, ancienne Académie Julian. Les dés sont jetés, médailles et prix jalonnent son parcours artistique […] Une palette haute en couleurs, des sujets pleins de fougue et de passion …

ENTRETIEN AUTOUR D’UNE OEUVRE JOELLE PULCINI
LAURE OZON – LE BIEN PUBLIC – MAI 2005


De son premier tableau exécuté à  l’âge de sept ans jusqu’à  nos jours, il est loisir de saisir l’évolution tant chronologique que vis-à-vis des choix qui ont muri en elle. […] Et le parcours s’avère saisissant, ses dernières concrétisations révélant une puissance créatrice inféodée au rythme, au mouvement, à l’éclat des couleurs dynamisantes, l’ensemble s’apparentant à un hymne au bon coté de l’existence.

LA PEINTURE: UNE EVIDENCE POUR JOELLE PULCINI
MICHEL POIRIAULT – LE JOURNAL DE SAONE ET LOIRE – 2005


J.Pulcini, une personnalité ayant déjà  un long parcours de qualité et de succès derrière elle […] une peinture à voir, revoir et infiniment à regarder…

JACQUELINE GUYOT – L’EST REPUBLICAIN – 2003


Si J.Pulcini respire le calme, la sérénité, l’harmonie, elle met dans ses toiles une force qui s’exprime avec légèreté et un mouvement qui évoque la fête, la danse, l’élan, la vie …

HELENE FERNEL – LE BIEN PUBLIC – 2002


L’artiste d’une grande sensiblité exprime avec un immense talent l’attente, l’émotion, le rêve, le bonheur, la fraîcheur, la pureté, le bouleversement d’un être, encore enfant, lors du premier émoi : « Le premier rendez-vous ». […] de ce tableau se dégagent la vie, l’amour, l’espérance …

AU SUJET DU TABLEAU «LE PREMIER RENDEZ-VOUS » MARYSE MORLOT – LE BIEN PUBLIC


.. une technique de longue haleine que cette superposition de glacis, de myriades d’écailles chromatiques qui donne à son travail une luminosité excessive, presque mystique …

LA VIE DES ARTS – DIJON – 1994